Politique scientifique de l'autruche

Lorsqu'on est des suiveurs, on ne doit pas attendre à dépasser celui qu'on est entrain de suivre, c'est ce que dit la logique et la science, cela s'appelle principe de causalité. On ne peut jamais narguer les lois physiques, c'est un principe indispensable.

Alors, chez nous en Algérie, si vous allumez par exemple la radio ou la télévision, vous trouverez que toutes les émissions, les conférences et les congrès consacrés au débats sur les exigences de la recherche scientifique pour réaliser un développement global, concentrent sur le développement de l'énergie renouvelable et en particulier l'énergie solaire, la recherche dans le domaine des robots, les supraconducteur, la nanotechnologie ....etc. Et c'est la même tendance pour tous les autres domaines. Des sujets qui ne concernent ni le citoyen, ni l'économie ni la société, ni l'actualité. Comme ils le déclarent toujours, c'est pour l'Algérie de 2030, et 2050. Cependant Ya mez'amis, où est-elle l'Algérie de "maintenant", l'Algérie de 2017, de 2018?

Yarham babakom, est-ce qu'on a besoin à optimiser le transport de l'énergie électrique en 2040 en privilégiant la recherche sur les supraconducteur en vu de minimiser les pertes de 10% en 10000 km, alors que les pertes actuellement dans les canaux des eaux potables dépassent des niveaux que je n'ose pas dire (pour qu'aucun ne dise j'exagère dans mon article)? Personnellement je n'ai jamais entendu parler de ce problème dans ce type de conférences et colloques scientifique. Est-ce que c'est prioritaire à verser le tout du budget pour les recherches sur les nouvelles resource énergétique que l'objectif et d'affronter l'épuisement probable du pétrole en 2050 tandis que 4 milles âmes meurent chaque année sur les routes? jamais on n'a étudié ça d'une manière scientifique. Pour nos villes lamentables (bidons villes comparées aux villes des pays avancés), jamais on a posé scientifiquement le problème des déchets sporadiques, le problème des rues bourbeux malgré l'assainissement cyclique, le problème des cités chaotiques, toujours on traite la chose avec des décisions politique triviales. Sur le plan médicale, par exemple, beaucoup de villes ou villages souffre d'une façon remarquables de certaines maladies, pourquoi ne pas êtres pratique et poser la question réaliste : "pourquoi particulièrement ces villes mais pas d'autres?" au lieux de poser la question mystérieuse: "comment traiter le cancer ou le SIDA?" qui reste vertigineuse même pour les pays les plus développés?  .... etc... etc.

En Amérique, en Espagne, au Japan, et tous les autres pays développés, on s'intéresse pas au  fléau social:" rejet des déchets par les fenêtres", car il n'ont pas ça, il 'l'ont dépassé il y a longtemps, c'est pourquoi ils s'intéresse maintenant au problèmes sociaux plus détaillés et plus profonds et qui semblent pour nous plus avancés, il n'ont pas des coupures d'électricité et des bouteilles d'eau minérales jetées dans les rues, c'est pourquoi ils s’intéressent plutôt  aux bio-pétrole et au problème du chewing-gum jeté dans les rues de New York, ... Autrement dit, ils n'ont pas nos problèmes, c'est pourquoi il sont passés à chercher résoudre des problèmes à long termes. C'est pourquoi nous, aussi, devons  nous intéressés à nos propres problèmes. Nous devons organiser des conférences scientifique et élaborer des mémoires et des thèses de doctorats sur des problèmes dont la résolution est prioritaires, des problèmes qui existent dans notre vie quotidiennes, des thèses de doctorat sur : les cause des accidents de la route en Algérie. Les causes de la croissance du taux du cancer à Skikda. Qu'est ce qu'il fait de nos nouvelles cités des bidons villes dans un temps records? Pourquoi y-a-t-il toujours des travaux de "forage" dans nos boulevards déjà aménagés. Comment faciliter la vie dans le sud Algérien. Le phénomène d'assassinat des enfants. Qu-est-ce qu'il a favorisé la corruption dans la société et l'administration algérienne? Le problème de circulation à Alger. Pourquoi on a pas en Algérie un système banquier efficace...
Je veux dire, on veux des études scientifiques qui concernent  nos problèmes dans notre vie quotidienne mais pas ceux de l'Europe ou de l'Amérique, et qu'ils ne soient pas des analyses politiques.
On a pas besoin en Algérie à dépenser des millions de dollars pour promouvoir la performance du système d'amortissement d'un véhicule, car on fait pas encore la conception des véhicules en Algérie. Nous n'avons pas une industrie du textile, alors cherchant pas à inventer des pantalon qui ne se salissent pas à travers de la nanotechnologie alors que tous les trottoirs de nos rues sont vraiment des marrés de la boue.
Surtout, ces dits partenariats avec le "Japon" en vue de développer un robots très rapide ... ? et Avec la France pour développer un moteur supraconducteur, et avec l’Espagne pour développer blah blah blah. Mais, nous avons besoin de faire des partenariat de recherche sur notre champs pour lancer notre agriculture, notre industrie agroalimentaire... etc. Nous avons besoin des recherches pour appliquer ce qu'ils ont déjà réalisé, mais pas encore pour le promouvoir.
Si on arrive un jour à réaliser ça, tant pis pour les autorités globales et locales, ça sera ses résultats et recommandations de la recherche scientifique qui prendre les décisions mais pas des ministres, des députés, des Walis et des maires illettrés dans la plupart de leurs cas. Finalement nous comprenons pourquoi les présidentielles aux pays développés ne font pas des conflits armés comme chez nous. .........
(à redresser)